Elastique le sens des mots : certains détendent leurs syllabes pour s'étirer au creux de l'imaginaire des lecteurs. D'autres se rassemblent pour mieux condenser l'apparaître du sens et donner à lire le meilleur d'eux-mêmes. Elastique aussi la compréhension de l'autre qui se laisse glisser au gré des saisons et des crues de plumes.
Tout est possible dans le distendu.
Tout est pensable lorsque la pensée est perturbée et se repense pour mieux réfléchir à sa situation d'origine. Ecrire, dit-elle.