Détailler l'image devant soi pour en lire la substantifique moelle. Attendre patiemment le déclic. Pas celui de l'appareil photo mais le déclencheur de l'écriture. Petit à petit les détails s'ordonnancent puis dansent les uns avec les autres jusqu'à nous faire entendre une douce mélodie. Do majeur ? Peut-être. La portée est comme une phrase sur laquelle s'organisent des hasards, des rencontres et d'heureuses harmonies. L'image a donné et tenu ses promesses. C'est le don propre aux graphèmes, reste à l'imagination de faire sa part de labeur. Dur, dur !